Gloire au Drapeau National du Sacré-Cœur

Poème gloire au Drapeau national du Sacré-Cœur

Carte postale artisanale avec ruban tricolore, époque première guerre mondiale.

GLOIRE AU DRAPEAU

Bleu, ainsi que le ciel léger de notre France,
Blanc, ainsi que l’âme de ses enfants pieux,
Rouge, ainsi que le sang de leurs cœurs généreux.
Doux emblème de Foi, d’Amour et d’Espérance
Symbole de gloire et d’honneur
Qui nous ramènera vainqueurs
Sous la Garde du Sacré-Cœur

11 juin 1915.

Drapeau « Cœur Sacré de Jésus Espoir et Salut de la France »

Drapeau National Cœur Sacré de Jésus espoir et salut de la France

Drapeau National du Sacré Cœur.
Époque première guerre mondiale. Franges et broderies en fil de cuivre.

Cœur Sacré de Jésus
Espoir et Salut de la France

La France à la Crèche

La France à la Crèche Jésus & Patrie

Carte postale avec ruban tricolore, époque prière guerre mondiale. Editions Ave Maria.

La France à la Crèche

« Soyons vaillants en ce Noël de guerre ; offrons à l’Enfant-Jésus nos vœux de préservation des êtres qui nous sont chers, la victoire de nos armées et le retour de la Paix dans notre chère Patrie. »

Jeanne d’Arc Est Grande Par Son Amour de Dieu et de la France

Jeanne d'Arc sauvez la France protégez nos soldats

Carte postale,avec petite médaille et ruban tricolore. Éditions Avé Maria, Paris. Époque première guerre mondiale.

Bienheureuse Jeanne d’Arc
Sauvez la France, Protégez nos soldats.


Le secret de la victoire :
« Je n’avais d’autre secret que la confiance en Dieu, le mépris du danger et
l’amour de la France. »

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La vraie religion, celle que l’Évangile a fait connaître au monde, c’est l’amour de Dieu et du prochain. La piété chrétienne a pour caractéristique non seulement de faire pratiquer ces deux amours, mais d’en inspirer comme le besoin : l’âme vraiment pieuse est altérée de ces vertus, comme les fleurs le sont de chaleur et de lumière.

Ainsi en a-t-il été de la fille de Jacques d’Arc ; ainsi nous l’ont dépeinte les témoins de l’enquête de 1456, témoins qui sont tous ses compatriotes, ses compagnons ou ses amis de jeunesse. L’amour de Dieu et du prochain, tel que le divin Maître l’a enseigné, tel que les saints l’ont pratiqué, l’amour de Dieu créateur, de Dieu rédempteur, de Dieu récompense éternelle des élus, l’amour des pauvres, des enfants, des malheureux, et au-dessus de cet amour celui de la France si malheureuse, si délaissée, voilà les sentiments qui vont remplir le cœur de Jeannette et le faire palpiter ; les sentiments qui grandiront avec elle, s’épanouiront en elle et constitueront sa véritable vie.

Disons-le à la première page de son histoire, comme nous le dirons à la dernière : ce sont ces deux amours, celui de son Dieu et celui de son pays, qui feront Jeanne si grande ; ce sont ces deux amours qui donneront pour couronnement à la plus belle des vies la plus sublime des morts, la mort du martyre dans les flammes d’un bûcher.

Demander ce que l’amour de Dieu était pour Jeanne enfant et ce qu’il sera pour Jeanne jeune fille, c’est demander ce qu’est l’air, ce qu’est la lumière, ce qu’est l’espace pour l’oiseau. La vierge de Domremy vivait de cet amour, comme l’oiseau, aigle ou mésange, vit d’espace, d’air et de lumière. « Jeanne, disait François Garivel, conseiller général du Roi, était une bergerette aimant Dieu par dessus tout. »

La jeune vierge était remplie à ce point de l’amour de son Créateur, qu’il débordait de son âme et que l’ardeur s’en communiquait aux gens avec qui elle se trouvait. « J’avais foi en elle, disait Jean de Metz, son compagnon de route de Vaucouleurs à Chinon ; j’étais enflammé par ses paroles, ainsi que par l’amour de Dieu qu’elle respirait. »

Admonestée à Rouen par l’archidiacre Jean de Châtillon, la Pucelle lui dira : « Lisez votre livre, puis je vous répondrai. Je me confie de tout à Dieu mon créateur : je l’aime de tout mon cœur. » […]

On a pu voir quelle piété saine, quelle conscience droite Jeannette apportait à l’accomplissement de tous ses devoirs. Mais un autre sentiment que l’amour de sa tâche quotidienne faisait battre son cœur, l’amour de la France et de son roi. En même temps que la chrétienne et la fillette laborieuse, ardente au travail, se formait la patriote et la Française si digne d’être admirée.

En ce quinzième siècle, la foi patriotique dont les vrais Français portaient en eux la flamme était non seulement étroitement liée à leur foi religieuse, mais elle procédait d’elle comme l’effet procède de la cause. L’idée chrétienne avait créé un culte véritable pour la patrie personnifiée dans le roi, comme elle avait créé le culte de Dieu, de l’Église et des saints. Le trône avait pour sauvegarde l’autel, mais il était placé au-dessous.[…]

Pour Jeanne d’Arc, le royaume de France, c’est « le saint royaume ». Ainsi le qualifiera-t-elle dans sa lettre aux habitants de Troyes ; — le royaume même de « Jésus, Roi du Ciel et de toute la Terre». — Ainsi s’exprimera-t-elle dans sa lettre au duc de Bourgogne, à l’occasion du sacre ; — le royaume « de Dieu, le fils de Sainte Marie », comme le portera sa lettre aux Anglais.[…]

Des trois choses que la Vierge de Domremy demandera à ses Saintes, deux regardent ce cher pays de France et son souverain ; la troisième seulement la regarde elle-même. « J’ai demandé à mes Voix trois choses, dit-elle : la première, le succès de mon expédition (la levée du siège d’Orléans et le sacre de Reims) ; — la deuxième, que Dieu aide bien aux Français et garde bien les villes de leur obéissance ; — la troisième, le salut de mon âme.»

Extrait de : Histoire Complète de la Bienheureuse Jeanne D’Arc, Nouvelle Édition, Tome 1, par Philippe-Hector Dunand, 1912.

Pétain

En ce 11 novembre, anniversaire de la signature de l’armistice de la grande guerre voulue et initiée par la 3ème république franc-maçonne (voir l’affaire des fiches), penchons-nous le cas Pétain.

Honni, critiqué, accablé, sali… Qu’en est-il de son action pendant la première guerre mondiale ? Héros ou arriviste ?

En réponse aux idéologues-historiens qui réécrivent une histoire politiquement correcte, Christopher Lannes remet les pendules à l’heure. Il rappelle que ce sont les Poilus eux-mêmes qui admiraient le Maréchal Pétain et le considéraient comme le vrai Vainqueur de Verdun.

Et après l’entrée au panthéon de Maurice Genevoix, demandons une nouvelle fois que la dépouille du Maréchal rejoigne celles de ses hommes à Douaumont.

Enfin de Pétain adoptons la force de caractère et la confiance en l’avenir. Et comme lui, proclamons :

« Les traîtres et les vendus de l’anti-France ? Courage … ON LES AURA ! »

Quelques cartes postales et documents d’époque consacrés au Vainqueur de Verdun :
(Cliquez sur les images pour les agrandir)