Ainsi était Saint Louis – Jean-Noël Toubon

Quatre vidéos présentant l’ouvrage Ainsi était Saint Louis de Jean-Noël Toubon, par ailleurs créateur de la chaîne youtube Gallia – notre histoire de France et de VoxGallia Editions Catholiques et Royales.

Pour commander ce livre cliquez ICI.

Jean-Noël Toubon interrogé par Adrien Abauzit sur Radio Athéna.

Conférence donnée pour l’association Saint Pie V.

Jean-Noël Toubon interrogé par Martial Bild sur TV Libertés.

[Ce Que Devrait Être] Le Programme Commun de la Droite – Guillaume Bernard

Autorité / Identité / Souveraineté / Libertés (Subsidiarité) / Dignité

– Restauration de l’autorité de l’État, notamment en matière de sécurité (en opposition à la culture de l’excuse) et de contrôle des frontières (par opposition au mondialisme libre-échangiste) ;

– Défense de l’identité (contre le multiculturalisme) et du patrimoine hérité (contre l’impérialisme islamique et le constructivisme laïcard) ;

– Promotion de la souveraineté nationale (contre l’européisme) et de la puissance de la civilisation européenne dans le cadre d’une conception réaliste des relations internationales ;

– Affirmation des libertés, notamment économiques, des corps sociaux (contre l’étatisme bureaucratique et fiscaliste) par l’application du principe de subsidiarité ;

– Dignité : maintien d’une conception traditionnelle en matière de mœurs et de bioéthique (contre le « progressisme » et le matérialisme).

Suivez Guillaume Bernard sur Twitter, Facebook et Youtube.
Consultez le site du Cercle d’Études pour la Renaissance Française (CERF).

Drapeau National du Sacré-Cœur

Drapeau national du Sacré-Cœur France

Carte postale artisanale peinte à la main, début XXe siècle.

Comme au temps des Romains, du barbare Maxence,
Par un geste du Ciel, Constantin triompha,
Sur ton lit de douleur, tressaille pauvre France
Par ce signe, tu vaincras !

Cœur de Jésus Sauvez la France

Sainte-Radegonde Mère De La Patrie, Par Le Cardinal Pie (3 et fin)

Le début de ce texte se trouve ICI

Gravure Sainte Radegonde fondatrice de l'abbaye Sainte-Croix

Sainte Radegonde. Reine de France, fondatrice de l’abbaye Sainte-Croix de Poitiers, 6ème siècle.
Gravure, seconde moitié XIXe siècle.

Mais notre invocation la plus familière à la fois et la plus solennelle à sainte Radegonde est celle-ci : « O mère de la patrie, illustre Radegonde, soyez le salut de votre peuple ; conservez la foi, affermissez les mœurs, procurez la paix par votre intercession. »

Une nation ne s’enfante pas toute seule elle a ses pères, ses fondateurs, ses auteurs. Loin de moi que je conteste ce titre à nos chefs de race, à Clovis, à Charlemagne, et à quelques autres. Toutefois les véritables et les premiers pères de la patrie française, ce furent ses grands évêques, et, par-dessus tous les autres, les saints Hilaire et Martin. Ils avaient fait une Gaule Chrétienne, une France Catholique toute prête pour le roi Franc qui allait se convertir, et que Remi allait évangéliser et baptiser. Mais ce n’était pas assez. Pour la formation et l’éducation des peuples, comme pour celle des particuliers, il n’est pas bon que l’homme soit seul. La France devait avoir des mères. Radegonde en est une. Les mères, c’est leur destinée de souffrir ; elles enfantent dans la douleur. Et qui de nous, en étudiant les origines de la nation, n’a été frappé du douloureux enfantement de la France par Clotilde et par Radegonde ? Radegonde, en particulier, a immensément souffert pour la France, elle a beaucoup travaillé pour elle, elle l’a beaucoup aimée. Jamais elle n’a plus efficacement rempli les fonctions de reine qu’après qu’elle eut cessé de l’être. Entendons le vénérable Hildebert, résumant les récits des biographes primitifs. Faisant l’office pieux du bourreau et du sacrificateur par rapport à sa propre chair : par ses jeûnes, ses cilices, ses macérations, elle intercédait auprès de Dieu pour tous les ordres de l’Église : pour l’Église d’abord, car elle savait déjà que la prospérité de la France est inséparable des destinées de l’Église. Puis, non-seulement par ses très-saintes prières, mais par ses lettres et ses correspondances, adressées à toutes les têtes couronnées, aux rois et à leurs ministres, elle travaillait à éteindre les guerres, à rétablir la concorde entre les princes divisés ; et ainsi le repos fut obtenu aux églises, la paix rendue à la patrie. C’est donc à bon droit que nous la saluons de ce titre de « mère de la patrie », et que nous appelons le peuple français « son peuple».

Oui, ô Radegonde, ce peuple est toujours le vôtre. Il se souvient que vous avez bercé son enfance sur vos genoux, que vous avez instruit et formé sa jeunesse, et il vous aime d’un amour fidèle. Quelle reine sur le trône est autant aimée, autant servie, autant priée, autant invoquée que vous ? En échange, donnez à ce peuple les gages de votre protection.

« Conservez la foi». Cette nation très-Chrétienne de France, qui est la fille aînée de l’Église, parmi ses malheurs et ses désastres, elle a eu la fortune de ne jamais se ranger sous l’étendard de l’hérésie ; elle a toujours marché en tête des puissances Catholiques. Aussi ne vous demandons-nous pas, ô sainte Reine, de nous rendre la Foi. Par la miséricorde de Dieu, c’est un trésor que nous n’avons point perdu. Dans l’opinion de tous les peuples, la France est en son fonds le pays orthodoxe par excellence. Mais, que d’adversaires acharnés, que d’ennemis conjurés contre cette orthodoxie ! Et parmi ceux qui la professent, que d’indifférence chez les uns, que d’alliages mauvais, que de défaillances doctrinales chez les autres !

Sainte Radegonde et Saint Médard scènes de vie monastique

Sainte Radegonde et Saint Médard. Scènes de la vie monastique.
Image à collectionner, début XXe siècle.

« Fortifiez, affermissez les mœurs ». La mollesse est partout : mollesse des convictions, mollesse des principes, mollesse des sentiments, et, par une suite nécessaire, mollesse des volontés ; mollesse des mœurs privées et des mœurs domestiques, mollesse des mœurs publiques et sociales ; mollesse des esprits, mollesse des corps. On nous le dit tous les jours : nous sommes une race d’amollis. O vous la femme forte, vous qui avez dominé votre siècle au lieu de vous traîner à sa remorque, relevez, soutenez nos mœurs qui s’affaissent. Rappelez à la France que Dieu lui a dit, comme à l’ancien Israël : « Je t’ai faite pour être à la tête, et non à la queue, pour être en avant et non en arrière ; ton rôle est d’être toujours en dessus, jamais en dessous ». Mais rappelez-lui aussi qu’elle ne peut garder ou reconquérir son rang qu’à la condition d’élever et de maintenir ses mœurs privées et ses mœurs publiques à la hauteur de sa vocation.

Enfin, ô grande Reine, « procurez-nous la paix par votre sainte intercession ». La paix, c’est toute notre ambition à cette heure. Peuple vaincu, nous ne demandons pas la gloire, nous ne demandons pas les conquêtes et les revanches ; nous demandons la paix, mais la paix honorable et digne, la paix qui ne soit pas l’humiliation d’un joug chaque jour plus appesanti, le servilisme muet, l’assujettissement honteux et coupable à tous les caprices de la force ; nous demandons une paix durant laquelle nous puissions nous relever d’abord aux yeux de Dieu et à nos propres yeux, pour nous relever ensuite aux yeux des peuples.

Tel est le vœu, telle est la prière que perpétuera, devant la tombe et devant l’autel de Radegonde, le lampadaire que les habitants de la capitale ont aujourd’hui suspendu dans ce sanctuaire. Autrefois Anne d’Autriche fonda ici une lampe perpétuelle en action de grâces de la naissance de son fils, de celui qui fut Louis XIV, et qui reçut à bon droit le nom de Louis le Grand. La lampe éteinte et détruite par les révolutions, ennemies de toute durée et de toute perpétuité, vous l’avez rétablie, vous l’avez rallumée, pieux pèlerins de Paris ; elle nous restera comme un souvenir et un gage de votre visite ; elle sera pour vous et votre grande cité un titre permanent à la protection de notre puissante Reine. J’aime à me le persuader : vous laisserez ici quelque chose de la liqueur de piété qui est dans vos âmes ; et, ce quelque chose s’unissant à l’huile qui alimentera cette lampe, sa flamme redira incessamment en votre nom les invocations que nous venons de commenter, celle-ci en particulier : « O Mère de la Patrie, illustre Radegonde, soyez le salut de votre peuple. Conservez la foi, affermissez les mœurs, procurez-nous la paix par votre sainte intercession. »

Ainsi soit-il.

Sainte Radegonde priez pour nous

Sainte Radegonde priez pour nous.

Extrait de : Discours Adressé dans l’Église de Sainte-Radegonde de Poitiers aux Pèlerins de Paris, le 17 Août 1874, par le Cardinal Louis-Édouard Pie.

Le Vrai Visage de l’islam : « On peut attaquer un chrétien, mais on peut pas attaquer un frère musulman »…

Pour ceux qui avaient encore des illusions sur la religion de paix, d’amour, de tolérance, et sur les « gentils » musulmans du quotidien, la vérité sort de la bouche des musulmans eux-mêmes.

On apprend également que « l’armistice » entre maghrébins et tchétchènes a été signé à la mosquée du quartier (article FdeSouche).

Pauvre France Républicaine « post-Chrétienne » tu es tombée bien bas, et ce n’est pas fini ; tu boiras la coupe de ton apostasie jusqu’à la lie…