Les 4 Phases de la Tromperie de l’islam

David Wood étudie le discours d’un islamologue de réputation mondiale, Yasir Qadhi, dans lequel il révèle les 4 phases de la tromperie de l’islam :

1. Phase de l’ignorance : lorsque vous n’avez aucune idée de ce que sont les preuves. Vous avez juste entendu des mythes venant de vos savants et apologistes.

2. Phase de la confusion : lorsque vous avez pris connaissance d’une partie des preuves et que vous vous apercevez qu’on vous a menti.

3. Phase de la régurgitation : lorsque vous mémorisez et régurgitez ce que vos menteurs d’imams vous racontent.

4. Phase de l’inconfort : lorsque vous comprenez que vous avez mémorisé et régurgité des absurdités totales.

David Wood illustre ces phases grâce à plusieurs exemples.

Une vidéo traduite par AmbiguitY. En cas de censure, vous pourrez la retrouver ICI.

LES MÉDIAS ET L’ISLAM : bobards, mensonges et baratins – David Wood

Vidéo passionnante et documentée de David Wood, traduite par AmbiguitY, qui montre la complicité des médias (et réseaux sociaux) dans le processus d’islamisation que connait les États-Unis.

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Si cette vidéo venait à être censurée, vous pourrez la retrouver ICI.

Vraie et fausse liberté

La fausse liberté et les crimes de la révolution, dont madame Roland

Madame Roland victime de la machine infernale révolutionnaire qu’elle avait contribué à créer. La liberté qu’elle évoque est, bien entendu, la fausse liberté dénoncée par Louis Rupert.

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« La liberté, pour tout être auquel peut se joindre l’idée exprimée par ce mot, est la puissance d’exercer ses facultés conformément à sa fin. Mais la tendance de notre siècle n’est pas seulement, comme à toutes les époques, d’oublier la fin surnaturelle de l’homme; elle est encore d’en faire systématiquement abstraction, de constituer deux ordres séparés et indépendants, l’un purement naturel, extérieur et politique, l’autre surnaturel, invisible et spirituel; de là deux causes qui produisent la même erreur en matière de liberté. Que l’on oublie la fin de l’homme, ou que l’on en fasse volontairement abstraction, il n’y a plus de règle pour discerner le bon ou le mauvais usage de la liberté, c’est-à-dire pour distinguer la liberté de la licence, pour saisir la différence essentielle et radicale entre l’une et l’autre. Il ne reste plus, pour les définir toutes deux, que ces mots : puissance d’exercer ses facultés ; la liberté peut être invoquée au profit du mal et de l’erreur tout comme à l’avantage du bien et de la vérité ; la licence n’existe plus, elle n’est qu’un mot vide de sens, ou bien on ne consent à la reconnaître que lorsqu’elle arrive à ces révoltantes extrémités que personne n’est censé vouloir.

Voilà la confusion dans laquelle est tombé le langage depuis bientôt un siècle ; et à la faveur de cette confusion les scènes de désordre les plus sanglantes ont pu s’accomplir, la plus épouvantable tyrannie a pu s’exercer au nom de la liberté ! Et après quarante ans de leçons données par la Providence pour voir, réfléchir et comprendre, il s’est trouvé encore, en 1830, des hommes d’intelligence et de talent qui se sont levés au nom du catholicisme pour demander la liberté dans le sens révolutionnaire, c’est-à-dire une liberté qui profite au mal autant qu’au bien, qui ne se distingue en rien de la licence, et qui constitue à l’erreur les mêmes droits qu’à la vérité.

Quand on demande au nom du catholicisme ce que l’Église catholique ne peut ni désirer, ni proclamer, ni admettre, il faut s’attendre à être désavoué par elle. Le chef de l’Église ne tarda pas à protester contre les systèmes que l’on voulait établir sur de fausses notions de la liberté ; il réprouva et flétrit, avec la plus grande énergie d’expressions, toute revendication de prétendus droits au profit de l’erreur et de l’impiété. Ses paroles furent écoutées avec respect; elles opérèrent le vide et l’isolement autour du chef du la nouvelle école; on put croire que l’erreur moderne était confondue et n’aurait plus de partisans que les irréconciliables ennemis de l’Église et de la vérité.

Mais la soumission du cœur ne guérit pas toujours les maladies et les infirmités de l’esprit. Le mot de liberté avait troublé bien des têtes, et l’on y restait d’autant plus attaché qu’on le comprenait moins. On s’était imaginé qu’il pouvait être un mot d’ordre au moyen duquel les deux camps qui se partagent le monde pourraient se confondre en un seul, et il en coûtait de renoncer aux conquêtes brillantes que l’on s’était flatté de faire en inscrivant ce mot sur son drapeau. Après s’être incliné devant la parole du Pontife suprême, on se remit à l’œuvre à peu près comme si elle n’avait pas été prononcée. On crut pouvoir l’éluder en se disant qu’elle avait condamné en principe la liberté de l’erreur, mais qu’elle n’avait point prétendu décider si, dans l’état actuel des sociétés, il ne valait pas mieux réclamer une liberté égale pour tous, même pour ceux qui veulent le mal et l’erreur, afin de l’obtenir au profit de la vérité.

Et là-dessus on préconisait outre mesure la puissance de la vérité, qui est, disait-on, assez forte pour triompher par elle-même de tous les obstacles et de toutes les résistances, sans avoir besoin d’aucun appui étranger, d’aucun moyen de répression extérieure. On oubliait sans doute que la Vérité incarnée, et se communiquant aux hommes par toutes les inventions de la charité divine, avait dû subir le supplice de la croix, et que tous ceux qui voudront s’attacher à elle auront à souffrir la persécution. Mais on se disait, et l’on se dit encore que des temps nouveaux sont arrivés pour l’humanité, temps de décadence peut-être selon les uns, temps de progrès et de rénovation selon les autres, mais dans lesquels il n’est plus possible en tout cas de suivre et d’appliquer les principes proclamés par l’autorité pontificale; comme si l’Esprit-Saint qui assiste l’Église n’était pas esprit de sagesse autant qu’esprit de vérité! « 

Extrait de : La Liberté Moderne, Jugée par l’Église, Encyclique Mirari vos de Grégoire XVI contre « l’Avenir », par Louis Rupert. 1862.