Dieu et Patrie – Prières Pour Nos Morts

Dieu et Patrie croix drapeau et prières

Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, lors même qu’il serait mort.
« N’oubliez pas ceux qui dorment du sommeil de la mort. »
Ne soyez pas tristes comme ceux qui sont sans espérance.

La Divine Majesté nous attire aux regards du Ciel, en nous enlevant les êtres qui nous sont les plus chers ici-bas… Saint Augustin

Prière à la Sainte-Vierge
pour les âmes du Purgatoire (Saint-Bonaventure)

Sainte-Marie, Mère de Dieu, Consolatrice des affligés et secours des Chrétiens, douce Vierge, Mère de notre Sauveur Jésus et de tous les fidèles, ô vous qui êtes aussi la mère de toutes les pauvres âmes qui souffrent tant dans le purgatoire, j’implore avec confiance l’immense bonté de votre Cœur, et je vous prie d’intercéder auprès de votre Divin Fils, afin que, par les mérites de Son Saint Sacrifice, les âmes qui sont châtiées et purifiées par le feu de la souffrance, comme l’or dans la fournaise, obtiennent le soulagement et la délivrance auxquels elles aspirent. Ainsi-soit-il.

Ayez pitié de nos morts

Cœur Sacré de Jésus, ouvrez largement les trésors de votre infinie bonté, et brisant les liens qui les retiennent encore captifs, ouvrez leur votre Ciel.

Prières indulgenciées pour les morts
(Réciter cinq Pater et cinq Ave, avec cette invocation)

Nous vous supplions Seigneur de venir au secours des âmes que vous avez rachetées par votre précieux Sang.
V) Accordez-leur le repos éternel.
R) Et faites-les jouir de la divine lumière.
V) Qu’elles reposent en paix.
R) Ainsi-soit-il.

Seigneur qui êtes le Créateur et le Rédempteur de tous les fidèles, accordez aux âmes de vos serviteurs et de vos servantes la rémission de tous leurs péchés, afin qu’elles obtiennent par les prières de votre Église le bonheur après lequel elles soupirent.
(300 jours d’indulgence chaque fois. Indulgence plénière, un jour à son choix quand on a dit ces prières pendant un mois.)

« Père Éternel, par le Sang Précieux de Jésus-Christ, glorifiez son Saint Nom suivant l’intention et les désirs de son Cœur Adorable. » (300 j. chaque fois)
« Mon Jésus Miséricorde. » (300 j. chaque fois)
« Doux Cœur de mon Jésus, faites que je vous aime de plus en plus. » (300 j.)
« Doux Cœur de Marie, soyez mon salut. » (300 j. chaque fois)
« Marie, notre espérance, ayez pitié de nous. » (300 j.)

Règne Social du Christ : Dans La Famille

Image récitation du chapelet en famille piété

La récitation du chapelet en famille.

Organisation Naturelle et Divine de la Famille.

Selon le plan divin, révélé par la création comme par la nature, l’homme est le chef de la famille (Genèse, c. 2, v. 21). Il doit y maintenir l’unité, la concorde, plutôt par la vivacité de son affection que par la supériorité de sa force ; il a la primauté d’intelligence et de puissance, par conséquent, le devoir d’éclairer et de protéger les autres membres de la famille. La mère, subordonnée au père, possède la puissance du cœur et de la beauté, la puissance de la faiblesse, c’est-à-dire la puissance de médiation. De ces deux caractères naturels découle la double série des droits et des devoirs qui unissent les deux êtres dans un même et unique lien de tendresse et de dévouement, tous les jours de la vie, de telle sorte que les deux existences n’en font qu’une seule, Et erunt duo in carne unâ [Ils seront deux dans une seule chair ]. Cette profonde parole exprime avec une énergie divine le dogme de l’unité, de l’indissolubilité des liens matrimoniaux, et résume tous les devoirs, tout le bonheur de la vie conjugale dans le mot Union. Après avoir ainsi établi la sainte corrélation entre l’homme et la femme, Dieu les bénit tous deux et leur dit : Croissez et multipliez-vous (Genèse, c. 2). Voilà donc un troisième élément introduit dans la société domestique : l’enfant. L’enfant est le membre naturel de la famille et y apporte un lien nouveau qui, d’une part, unit plus intimement encore le père et la mère entre eux, de l’autre, établit une nouvelle série de droits et de devoirs entre les parents et le fruit de leur union. L’enfant, dépendant naturellement du père et de la mère, tient d’eux la vie et tout ce qui soutient et développe son existence dans l’ordre physique et moral ; ainsi, en retour des devoirs qui incombent aux parents, ils acquièrent des droits éternels sur leur enfant, qui les reconnaît par des sentiments, d’amour, de respect, d’obéissance et de gratitude.

Jésus-Christ bénit les familles chrétiennes gravure d'Azambre

Jésus-Christ bénit les familles Chrétiennes.
Gravure d’Étienne Azambre (1859-1933).

De l’histoire de la création de la première famille, rapportée dans la Genèse, saint Augustin et saint Thomas, les plus sublimes génies du Catholicisme, tirent les réflexions suivantes : « L’homme fut d’abord créé seul, dit le penseur d’Hippone, mais il ne fut pas abandonné dans son isolement, car rien n’est plus réellement sociable que la race humaine. Dieu voulut créer l’homme à l’état d’unité, d’où sortirait toute notre espèce, afin de nous rappeler que, quelque multipliés que nous puissions être, nous ne devons former, dans cette multitude, qu’une unité harmonieuse. La femme d’Adam ne fut pas créée comme lui ; elle sortit de ses flancs ainsi que le reste des mortels, afin que l’unité de la société et le lien de la concorde nous devinssent plus chers, étant fondés, non-seulement sur la ressemblance d’une même nature, mais encore sur l’affection d’une même parenté. »

Prière du bénédicité en famille

Prière du bénédicité en famille.

Saint Thomas, citant ces paroles que saint Paul adresse aux juristes et aux philosophes d’Athènes, qui contestaient l’unité des races humaines : Fecit ex uno omne genus humanum [Il a fait naître d’un seul toute la race humaine], ajoute : « De même que Dieu est le principe unique de toute la création, de même Adam est l’unique générateur de l’humanité, parce qu’il a été fait pour une société durable, et que l’unité est un principe de durée. C’est pourquoi il tira la première femme, non de la tête de l’homme, afin qu’elle n’eût pas la domination, ni des pieds de l’homme, afin qu’elle ne devint pas un sujet de mépris, mais de la région du cœur, pour marquer que l’affection doit être le lien principal de la société. »

La prière du soir de la famille Chrétienne

« Voici la Famille que le Seigneur bénit ! » (Isaïe 61:9).

La famille, divinement constituée par les liens de la concorde et de l’unité, s’est modifiée, après le péché originel, sous le poids des passions. La femme fut assujettie à la puissance et à la domination de son mari : Sub viri potestate eris, et ipse dominabitur tui [Tu seras sous la puissance de ton mari, et il te dominera]. Les membres faibles de la famille, la femme et l’enfant, ont subi la loi de la force. Le paganisme, religion purement matérielle, a méconnu les doux noms de père, d’épouse et de fils, et brisé les liens tendres de la nature.

Extrait de : Règne Social du Christ, par l’Abbé Charles Bénard, 1866.

Douzième Exhortation de Saint Jean-Marie Vianney, Curé d’Ars : la Grâce

Image pieuse Saint Jean-Marie Vianney curé d'Ars

Saint Jean-Marie Vianney, curé d’Ars, Priez Pour Nous.

Pouvons-nous, par nos propres forces, éviter le péché, pratiquer la vertu ?

Non, mes enfants, nous ne pouvons rien sans la grâce du bon Dieu : c’est un article de foi ; c’est Jésus-Christ lui-même qui nous l’a enseigné. Voyez : l’Église pense et tous les saints ont pensé avec elle, que la grâce nous est absolument nécessaire, et que sans elle nous ne pouvons ni croire, ni espérer, ni aimer, ni faire pénitence de nos péchés. Saint Paul, qui n’était pas un faux dévot, nous assure de son côté que de nous-mêmes nous ne pouvons pas même prononcer le nom de Jésus d’une manière méritoire pour le ciel.

De même que la terre ne peut rien produire si le soleil ne la féconde ; de même nous ne pouvons rien faire de bien sans la grâce du bon Dieu.

La grâce, mes enfants, est un secours surnaturel qui nous porte au bien ; par exemple, voilà un pécheur qui entre dans une église et entend une instruction ; le prédicateur parle, de l’enfer, des rigueurs du jugement de Dieu ; il se sent poussé intérieurement à se convertir ; ce mouvement intérieur est ce que l’on appelle la grâce. Voyez, mes enfants ; c’est le bon Dieu qui prend ce pécheur par la main et qui veut lui apprendre à marcher. Nous sommes comme de petits enfants, nous ne savons pas marcher dans le chemin du ciel, nous chancelons, nous tombons, si la main du bon Dieu n’est pas toujours là pour nous soutenir. O mes enfants, que le bon Dieu est bon ! Si nous pensions à tout ce qu’il a fait, à tout ce qu’il fait encore chaque jour pour nous, nous ne pourrions pas l’offenser, nous l’aimerions de tout notre cœur ; mais nous n’y pensons pas ; voilà ce qu’il en est….. Les anges pèchent et ils sont précipités en enfer. L’homme pèche et Dieu lui promet un libérateur. Qu’avions-nous fait pour mériter cette faveur ? Qu’avons-nous fait pour mériter de naître dans la religion catholique, tandis qu’il y a tant d’âmes qui se perdent tous les jours dans les autres religions ?

Qu’avons-nous fait pour mériter d’être baptisés, tandis qu’il y a tant de petits enfants, en France, comme en Chine, en Amérique, qui meurent sans le baptême ? Qu’avons-nous fait pour mériter le pardon de tous les péchés que nous commettons depuis l’âge de raison, tandis qu’il y en a tant qui sont privés du sacrement de pénitence ?

O mes enfants, saint Augustin dit, et c’est bien vrai, qu’il cherche en nous ce qui mérite que Dieu nous abandonne, qu’il le trouve, et que s’il cherche ce qui nous rend digne de ses dons, il ne trouve rien ; c’est qu’en effet, il n’y a rien, nous ne sommes que cendre et péché.

Tout notre mérite, mes enfants, est de coopérer à la grâce. Voyez : une belle fleur, sans le soleil, n’a ni beauté, ni éclat, car pendant la nuit elle est toute flétrie, toute languissante ; le soleil se lève le matin, la voilà qui se redresse tout-à-coup, et s’épanouit ; il en est de même de notre âme, par rapport à Jésus-Christ, le vrai soleil de justice : elle n’a de beauté intérieure, que par la grâce sanctifiante. Pour recevoir cette grâce, mes enfants, notre âme doit se tourner vers le bon Dieu par une vraie conversion ; nous devons lui ouvrir notre cœur, par un acte de foi et d’amour. De même que le soleil ne peut à lui seul faire épanouir une fleur si elle est déjà morte ; de même la grâce du bon Dieu ne pourra pas nous ramener à la vie, si nous ne voulons pas quitter le péché…

Image pieuse Saint Jean-Marie Vianney Ars aimer Dieu
Mon Dieu faites-moi la Grâce de vous aimer autant qu’il est possible que je vous aime. Saint Jean-Marie Vianney, Curé d’Ars.

Dieu nous parle sans cesse par ses bonnes inspirations ; il nous envoie de bonnes pensées, de bons désirs. Dans la jeunesse, dans la vieillesse, dans tous les malheurs de la vie, il nous exhorte à recevoir sa grâce, quel usage faisons-nous de ses avertissements ? En ce moment même, coopérons-nous bien à la grâce ? ne lui fermons-nous pas les portes de notre cœur ? Songez que le bon Dieu vous demandera compte, un jour, de ce que vous avez entendu aujourd’hui ; malheur à vous, si vous étouffez le cri qui s’élève dans le fond de votre conscience ! Nous sommes dans la prospérité, nous vivons au milieu des plaisirs, tout bouffis d’orgueil, notre cœur est de glace pour le bon Dieu. C’est une boule de cuivre que les eaux de la grâce ne peuvent plus pénétrer ; c’est un arbre qui reçoit la douce rosée et qui ne porte plus de fruits…

Prenons garde, mes enfants ; faisons attention de ne pas manquer à la grâce. Le bon Dieu nous laisse libres de choisir la Vie ou la mort : si nous choisissons la mort, nous serons jetés au feu, et il faudra brûler éternellement avec les démons. Demandons pardon à Dieu d’avoir abusé jusqu’à présent des grâces qu’il nous a faites, et prions-le humblement de nous en accorder de nouvelles.

Extrait de : Ars ou le Jeune Philosophe Redevenu Chrétien Renfermant Seize Exhortations ou Catéchismes du Curé d’Ars, auteur anonyme, 1851.

Les Deux Cités : Fins

Le début de ce texte se trouve ICI.

Paradis ou enfer pour l'éternité

De Quelque Côté Que l’Arbre Tombe, Il Demeure.
De Quel Côté Êtes-Vous ? Paradis ou Enfer.
Êtes-Vous de la Cité de Dieu ou de la Cité du monde ?

XI. — Les Fins des Deux Cités.

Par les fins des deux cités, il faut entendre non ce qui les ferait cesser d’être, mais le terme au-delà duquel elles n’ont plus rien à chercher, plus rien à attendre. La fin de la cité de Dieu, c’est Dieu lui-même, et la fin de la cité du monde, c’est le degré de mal qu’elle ne dépassera pas ; d’un côté le souverain bien, de l’autre le souverain mal : d’un côté la vie éternelle, de l’autre la mort éternelle.

Les saints, les fidèles qui n’auront point aimé la terre ni la vanité de ce monde, trouveront Dieu qu’ils auront aimé par-dessus tout : en quittant la vie présente, ils n’auront rien perdu de ce qu’ils aimaient ; et ce qu’ils auront cru, ils le verront, et dans cette vision de paix, ils seront bienheureux.

Les infidèles, les pécheurs n’auront plus rien de ce qu’ils auront aimé, et n’auront pas Dieu dont ils n’ont pas voulu : ils trouveront en eux-mêmes la cause de leur châtiment, et tout en ne pouvant plus mourir, ils seront dans la mort éternelle.

« Après la résurrection et le jugement universel, les deux cités auront atteint leur fin. celle de Jésus-Christ et celle du diable : l’une des bons, l’autre des méchants, l’une et l’autre toutefois composée d’anges et d’hommes. « Les bons n’auront plus jamais la volonté de pécher, les méchants n’en auront plus la faculté. Et il n’y aura plus de mort à attendre, ni pour ceux qui vivront vraiment heureux dans la vie éternelle, ni pour ceux qui sans pouvoir mourir resteront malheureux dans la mort éternelle, parce que les uns comme les autres seront là pour toujours » (Saint. Augustin. Enchirid. Cap. XXXI.)

XII. — La Chute de Babylone.

Saint Jean, dans sa divine Apocalypse, nous décrit la chute de Babylone. Il dit :

« Je vis un ange qui descendait du ciel, il avait une grande puissance, et la terre fut éclairée de sa gloire. »

« Et il cria avec force, et il dit : Elle est tombée, elle est tombée cette grande Babylone. »

« Toutes les nations ont bu du vin de sa prostitution : les rois de la terre se sont corrompus avec elle, et les marchands de la terre se sont enrichis de son luxe. »

« Et j’entendis une autre voix qui venait du ciel et qui disait : Sortez de cette ville, ô mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés, et que vous ne receviez de ses châtiments. »

« Traitez-la comme elle vous a traités : multipliez ses tourments et ses douleurs, à proportion de ce qu’elle s’est livrée à l’orgueil et au luxe. Elle s’est dit dans son cœur : je suis reine et sur le trône ; je ne serai point veuve et ne connaîtrai pas le deuil. »

« C’est pourquoi en un même jour viendront sur elle ses châtiments, et la mort, et le deuil, et la famine, et elle sera brûlée par le feu : car il est fort le Dieu qui la jugera. »

« Les rois de la terre pleureront sur elle ; les marchands de la terre pleureront et gémiront sur elle, parce que personne n’achètera plus leurs marchandises, ces marchandises d’or, d’argent, de pierreries, de perles, de lin, de pourpre, de soie, d’ivoire, d’airain, de fer, de marbre… »

« Ciel, soyez-en dans la joie, et vous aussi, saints, vous Apôtres et prophètes, parce que Dieu a fait justice de Babylone. » (Apoc., XVM.)

De ces paroles nous recueillons ceci : trois choses ont fait Babylone, et trois choses ont amené sa ruine : l’orgueil, le luxe, l’industrialisme, c’est-à-dire les trois concupiscences. On est puni par où l’on a péché : Per quæ peccat quis, per hæc et torquetur. (Sap, XI, 17.)

XIII. — La Cité de Dieu dans l’Éternité.

Le grand prophète du Nouveau Testament va nous dire maintenant la gloire de la cité de Dieu.

« J ’entendis après cela comme une voix de grandes foules dans le ciel, elle disait : Alléluia : Salut, gloire et puissance à notre Dieu, car ses jugements sont justes et vrais, et il a fait justice de la grande prostituée qui a corrompu la terre par sa prostitution, et il a vengé le sang de ses serviteurs qu’elle avait répandu de ses mains, et ils répétèrent : Alléluia. »

« Et je vis la cité sainte, la Jérusalem nouvelle, et j’entendis une grande voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes et il demeurera avec eux. »

« Et Dieu essuiera toutes larmes de leurs yeux : et il n’y aura plus ni mort, ni deuil, ni cri, ni douleur, jamais, car le premier état est passé. »

« Et celui qui était sur le trône, dit : Voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il me dit : Écris, ces paroles sont vraies et certaines. »

« Et il dit : C’est fait, à qui a soif je donnerai à boire de la fontaine de l’eau de la vie, gratis. »

« Qui sera victorieux, aura ces choses : et je serai son Dieu, et il sera mon fils. »

« Mais les timides, les incrédules, les abominables, les homicides, les fornicateurs, les empoisonneurs, les idolâtres et tous les menteurs, auront leur part dans l’étang brûlant de feu et de soufre. »

« Alors un ange me montra la grande cité, la Jérusalem nouvelle ; il n’y entrera rien de souillé, ni aucun de ceux qui commettent l’abomination ou le mensonge, mais seulement ceux qui sont écrits au livre de vie de l’Agneau. »

« Il n’y aura plus là d’anathème : mais il y aura le trône de Dieu et de l’Agneau, et ses serviteurs le serviront. »

« Ils verront sa face, et auront son nom sur leur front. »

« Il n’y aura plus là de nuit, et ils n’auront besoin ni de lampe, ni de la lumière du soleil, parce que le Seigneur Dieu les éclairera, et ils régneront dans les siècles des siècles. » (Apoc., XIX-XXII.)

Des choses glorieuses ont été dites sur toi, ville de Dieu ! Gloriosa dicta sunt de te, civitas Dei. (Ps. LXXXVI, 3)

Extrait de : Les Deux Cités, par le Père Emmanuel, 1911.

Jésus est le Chemin du Paradis

« La Vie en Jésus est un Paradis et la Vie Unie en Jésus en est le Chemin. » Saint Pierre-Julien Eymard.